Recruter en Auvergne-Rhône-Alpes et Bourgogne-Franche-Comté : ce que révèlent les missions terrain
Que les entreprises soient dans l’industrie, le BTP, la Tech ou le tertiaire, les problématiques de recrutement se ressemblent souvent… sans jamais être identiques.
En accompagnant des entreprises de la région Auvergne-Rhône-Alpes et de Bourgogne-Franche-Comté, une évidence s’impose : ce ne sont pas les postes qui sont “difficiles à recruter”, ce sont les contextes qui sont mal appréhendés.
C’est particulièrement vrai pour les recrutements de profils techniques.
« On a des CV… mais les compétences ne sont pas au rendez-vous »
La situation est typique. Les candidatures arrivent, parfois en nombre, mais elles ne sont pas réellement alignées avec le besoin exprimé. Les intitulés correspondent, les mots-clés sont présents sur les CV, pourtant les compétences techniques et les soft skills attendues ne se retrouvent pas toujours en entretien.
Le décalage se situe souvent entre ce que l’offre exige et ce que les profils sont capables de délivrer concrètement sur le terrain. Résultat : des délais de recrutement qui s’allongent, des entretiens qui s’enchaînent sans conviction, et une difficulté persistante à identifier le bon candidat.
C’est le cas de recrutements en Bureau d’Études mécanique menés pour des entreprises industrielles situées à Lyon, Villefranche-sur-Saône ou Mâcon. De nombreux candidats maîtrisaient les outils de conception, mais leur capacité à sécuriser le chiffrage des offres, à arbitrer des choix techniques sous contrainte de délais, ou à tenir une posture de référent face à la production et au commerce faisait défaut. Le niveau technique se révélait souvent trop théorique pour répondre aux enjeux opérationnels du poste.
Même constat sur des recrutements de Technicien de maintenance en plasturgie à Beynost, Oyonnax ou Valence. Les CV mentionnaient moules, presses à injecter ou réglages machines, mais la réalité terrain révélait fréquemment des lacunes : manque de rigueur, faible autonomie, difficulté à intervenir dans un environnement exigeant en termes de qualité et de continuité de production.
Au final, dans ces recrutements, la difficulté n’est pas le volume de candidatures, mais l’alignement réel entre compétences techniques, posture professionnelle et contexte industriel. C’est précisément là que se joue la réussite — ou l’échec — du recrutement.
Ce qui a permis de débloquer le recrutement
Dans ces situations, l’enjeu n’a pas été de générer davantage de CV, mais de revenir au réel du poste. Chez Qatalyse Recrutement, le travail commence par une compréhension fine du contexte : enjeux techniques concrets, irritants du quotidien, interfaces clés, attentes des équipes en place et critères de réussite à court et moyen terme.
Cette approche permet de reformuler le besoin, de parler le même langage que les candidats techniques, et de cibler des profils capables de s’inscrire durablement dans l’environnement de l’entreprise. En se concentrant sur des candidatures réellement alignées — et non sur le volume — il a été possible d’identifier rapidement les bons profils et de débloquer des recrutements qui traînaient depuis plusieurs mois.
C’est cette combinaison de lecture terrain, de pragmatisme et de réactivité qui permet de sécuriser des recrutements techniques durables et rentables, là où les approches plus généralistes atteignent leurs limites.
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Julien Marcon
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